L’idée est simple, mais on n’a pas encore trouvé le pendant français : il s’agit de transformer un matériau, quel qu’il soit, en objet qui a de la valeur. Alors on réunit ces mots là en un seul, d’origine anglo saxonne : upcycling.
Parce que vous serez d’accord, j’en suis certaine : si je vous dis upcyclage ou recyclage … bof ! A la limite, ça va faire un peu ” poubelle “… et ça va vous chatouiller le nez. Alors que l’upcycling, c’est un terme désignant l’action de récupérer des matériaux ou des produits dont on n’a plus l’usage afin de les revaloriser. On recycle donc « par le haut », en produisant des objets dont la qualité est supérieure au matériau d’origine. Et ça, c’est la classe ! Le concept ne date pas vraiment d’hier : il est apparu dans le milieu des années 1990. Et moi, j’ai commencé mon activité au début des années 90, avant même de savoir que j’étais victime d’un ” concept “.
Pour faire simple : L’ « upcycling », c’est la création d’une nouvelle valeur pour des choses à-priori bonnes à jeter ou inutilisables, et dans tous les cas : dont on ne veut plus.
Par exemple, ci-dessous, je suis partie d’une bouteille en plastique toute bête et d’un tas de cochonneries que j’avais à portée de main : du coton, du grillage, du carton, du fil de fer … plein de petites choses ” inutiles ” destinées à être jetées.
Le bisou
Comprenez ainsi que, en plus de l’aspect indéniablement écologique (on préfére réutiliser plutôt que de jeter), l’upcycling donne l’occasion de créer et recréer des objets uniques.
C’est chouette, non ? La prochaine fois, je vous parlerai du papier mâché … 😉
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